La lame et le pinceau

Jacques-Louis David, peintre et metteur en scène de la Révolution/ Lecture-Spectacle de Benjamin Lazar

Les 7 et 8 novembre 2025 à 20h, le 9 novembre à 15h

CONDITIONS DE RÉSERVATION

Tarif A
plein : 38 €    
réduit : 33 €            
jeune et solidarité : 15 €
Acheter avec la FNAC 

A partir de 5 manifestations, abonnez-vous sur place en caisse-conseil ou par téléphone 

au 01 40 20 55 00 et bénéficiez du tarif réduit

Accès
Jusqu’à 17h30 : par le passage Richelieu 
Après 17h30 : par la Pyramide uniquement

Lecture-Spectacle/ Création autour de l’exposition "Jacques-Louis David"

Avec Judith Chemla, Benjamin Lazar, Arnaud Marzorati et Stanislas Roquette.

Et les musiciens de l’Ensemble Les Lunaisiens
Pernelle Marzorati, harpe
Roberta Christini, clarinette
Adrian Ramon, trompette
Patrick Wibart, serpent

Conception et mise en scène : Benjamin Lazar
Direction musicale : Arnaud Marzorati
Images : Joseph Paris
Lumières : Camille Mauplot
Son : Joan Cuhna
Chef de choeur : Jean-Sébastien Beauvais 
Conseil dramaturgique : Guillaume Mazeau, Thibaut Julian, Mathias Sieffert

Alors qu'une rétrospective spectaculaire est consacrée cet automne à Jacques-Louis David, cette lecture-spectacle nous entraîne à la rencontre d'un artiste pris dans le flux de l'Histoire, acteur et metteur en scène de la Révolution.

Si l'on connaît de David son iconique portrait de Marat assassiné ou le Sacre de Napoléon, on sait moins qu'il fut également l'organisateur des cérémonies et fêtes révolutionnaires.

Réunis autour du metteur en scène et comédien Benjamin Lazar, un plateau d'acteur et de musiciens d'exception (Judith Chemla, Stanislas Roquette, Arnaud Marzorati) nous livrent un portrait de David méconnu, celui d'un homme emprisonné à la fin de la Terreur et qui revit ses souvenirs à la veille de son procès.

S'y croisent compagnons de jeunesse et personnages de fiction, les ombres d'Andromaque, de Charlotte Corday, de Brutus, de Marat, d'Olympe de Gouges, d'André Chénier et de Robespierre qui passent dans le reflet du miroir où David se regarde. En cette nuit de Thermidor 1794, les peintures sortent du cadre et s'animent en une fête étincelante et sombre dans la mémoire du peintre